Cet article est reposté depuis Bernieshoot.

 "Avez-vous fait partie, comme moi, des élèves qui ont redouté le moment où l’instituteur, ou le professeur vous rendait votre copie largement annotée par les nombreuses corrections en rouge ?

Nous avons tous connu cette période où le rouge semblait « hurler » nos erreurs. Il est vrai que l’usage d’un stylo rouge prenait beaucoup moins d’importance si nous recevions une bonne note. Par contre, en cas de mauvaise note soulignée, en plus, d’une encre rouge, cela ressemblait à un blâme.

 

Le rouge, impoli ou illisible ?

Dès notre tendre enfance, je ne sais pas si c’est toujours le cas aujourd’hui, le rouge était la couleur réservée à l’instituteur. Ceci induisait un rapport clairement hiérarchisé entre l’instituteur et l’élève. Ecrire en rouge était inimaginable, qui aurait osé ? Cela aurait été un véritable manque de politesse. C’était une convention inscrite dans le marbre qui faisait partie des us et coutumes, comme ne pas mettre les coudes sur la table."

Bernard Arrini

[...]

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Une vidéo très pédagogique où l'on apprend,si on ne le savait pas déjà que , bien qu'écrit en 1830 pour des lecteurs de 1830 "Le rouge et le Noir" est en fait une histoire de Bi-Polarité wink ...

 Ici, le choix des articles et de leur contenu est subjectif et n'engage donc que moi wink...

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Pourquoi stylo rouge sans colère ?

alain...

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